Vaccins, médicaments et produits chimiques, on nous empoisonne !

Bonjour Corinne Lalo, vous êtes grand reporter journaliste à la télévision depuis trente ans, vous avez travaillé à TF1 notamment et à TV5 Monde aussi. Vous publiez un livre après le livre noir du médicament. C’est sauver le grand désordre hormonal, ce qui nous empoisonne à notre insu. C’est publié aux éditions du Cherche-Midi. On peut dire que Corinne Lalo, vous dressez un tableau consternant de ce qui est en train de se passer aujourd’hui, c’est à dire, en fait, un dérèglement hormonal généralisé à cause des médicaments, à cause des produits chimiques.

C’est à un dérèglement général qui touche aussi bien les humains que la faune. Et c’est un dérèglement qui a commencé déjà depuis les années 60. Donc, il y a déjà eu des alertes qui ont été lancées dans les années 60. Normalement, on ne devrait pas être dans cet état. On est dans une situation de santé qui est complètement dégradée avec l’augmentation des maladies de longue durée, des maladies de civilisation, des maladies chroniques.

C’est ce que vous dites, par exemple, vous dites je cite Quand les poissons se féminise, quand les escargots de mer voit apparaître des femelles à pénis. Quand les alligators développent un micro pénis. Quand les mâles ne sont plus attirés par les femelles. Quand les abysses deviennent homosexuels. Quand les garçons ont des testicules qui ne descendent plus. Quand les hommes perdent la moitié de leurs spermatozoïdes en une génération, quand leur taux de testostérone baisse significativement. Je pourrais continuer encore.

Vous citez encore beaucoup d’exemples. C’est ça la réalité.

C’est ce qui a été observé et tout ce qui est écrit dans le livre est écrit à partir d’études scientifiques qui ont été menées. Il y a eu des études scientifiques qui ont été menées sur les alligators en Floride, qui ont montré que des alligators qui avait grandi dans un milieu contaminé dans un lac avaient un pénis, ce qui était de 24 ans, longueur inférieure à des alligators qui avaient été élevés dans un milieu sain.

Oui, vous dites quand les calvitie précoces deviennent légion, quand les petites filles ont des puberté précoce, quand les jeunes filles ont des règles plus douloureuses, quand il y a une multiplication des cancers du sein. Tout ça vient d’une cause commune les perturbateurs chimiques, qu’on appelle perturbateurs endocriniens quand ils s’attaquent aux hormones à l’intérieur des organismes. Par exemple, on va prendre un exemple tout simple la pilule, c’est un médicament, mais c’est un perturbateur hormonal, par définition, puisque justement, il va jouer sur les hormones.

Eh bien, la pilule. Les femmes ne savent pas toujours, mais c’est un cancérigène classé officiellement cancérigène par l’OMS. Avec 38 de cancers du sein en plus, quand on est sous pilule, plein de choses. Vous parlez pourquoi? Les huîtres ne se reproduisent plus dans le bassin d’Arcachon? Vous dites qu’il y a des produits pour traiter les bateaux qui, qui qui polluent la mer et qui causent cela, mais au fond, ont envie de vous dire ça se voit chez les animaux.

Et aujourd’hui, vous dites ça se voit chez les êtres humains?

Oui, ça s’est vu chez les animaux. Ça a commencé par les escargots de mer. Après, ça a été les poissons. On a vu que des poissons mal commencé à porter des œufs. Ça s’est vu chez les grenouilles. On a vu que les grenouilles devenaient hermaphrodites avec à la fois un testicule et un ovaire. Ce qui est totalement aberrant. On a vu ça chez les alligators. Les femelles alligators ont commencé à avoir des ovaires qui ressemblent un peu aux ovaires Paulie Kystique qu’on retrouve aujourd’hui chez les femmes.

Et on a ensuite constaté chez les hommes que, par exemple, le taux de spermatozoïdes avait diminué et on a même de doser.

Vous montrez à votre tableau, on va montrer plus haut.

Voilà donc 70 pour cent de moins de concentration de spermatozoïdes en trois générations.

Donc, cancers du sein, de la prostate qui explosent, des couples qui ont du mal à approcher, les obèses qui se multiplient, dites vous. Le nombre de diabétiques, l’autisme qui se développe, tout ça est lié. Alors concrètement, Corinne Lalo, qu’est ce qui amène cette véritable catastrophe sanitaire? Quels sont les produits qui sont en cause alors?

Les produits, je les ai. Je les ai regroupés en six familles, mais personne, principalement les pesticides, les médicaments ainsi que les additifs alimentaires, donc les médicaments. Beaucoup de médicaments sont féminisés pour les hommes. Vous avez aussi tout ce qui est plastique dans les plastiques. Il y a le bisphénol A pour les plastiques souples et pour les plastiques durs et les phtalates pour les plastiques. Pour les plastiques souples, donc, les plastiques sont aussi perturbateurs hormonaux et féminisent.

Vous avez les perfluorés, donc au fluor. C’est ce qu’on met par exemple dans les poêles, dans les cuisines. C’est ce qui est anti adhésif et les retardateurs de flamme bromés dépoli bromés. Alors, ce sont des produits qu’on met dans les tissus, dans les canapés et dans les rideaux. Même quelquefois dans les habits. Et puis, vous avez aussi les parabènes qu’on utilise comme conservateurs dans les cosmétiques. Donc, tous ces produits sont des produits qui jouent, qui vont jouer sur les hormones et qui vont.

A la fois féminiser les hommes hyper, féminiser les femmes et produire des maladies hormonales sur la thyroïde, sur le pancréas, du diabète, de l’obésité, hyper féminiser les femmes, dites vous?

Alors ça peut à la fois. Ça dépend aussi des organismes, mais ça peut à la fois de choix hyper féminiser les femmes, soit les masculinisation. Et ça dépendra de à quel moment elles ont pu avoir une contamination. Et le plus important, ce sera la contamination, la contamination des fœtus dans le ventre des mères.

Parce que vous dites que pendant la grossesse, c’est le moment crucial. Vous citez des médicaments classiques, courants de la vie quotidienne, qui peuvent provoquer des malformations chez les enfants, notamment des micropénis, notamment, des micropénis chez les petits garçons. Et la période du fœtus est fondamentale. C’est là que tout se passe. C’est pour ça que les femmes qui portent un enfant doivent être averties, qu’elles ne doivent prendre aucun médicament, y compris des médicaments qui peuvent paraître anodin.

Mais surtout cela, par exemple du paracétamol, à savoir du Doliprane, le paracétamol. Il a été prouvé que le paracétamol, c’est à Mol féminise les petits garçons. Lorsque la maman en prend, quand elle est enceinte du petit garçon. Et les femmes françaises sont 70 à prendre du paracétamol quand elles sont enceintes, alors que, par exemple, les Danoises ont été mises au courant qu’elles ne doivent pas le faire. Donc, elles ne le font pas.

Véritable scandale. C’est ce que vous nous révéler là, parce qu’au fond, on devrait être informé de ces situations là. Pourquoi on ne l’est pas?

Il y a un manque d’information. Parce que pourquoi en France, on informe pas les femmes enceintes alors qu’au Danemark, ils le font? C’est très inquiétant parce que justement, c’est au moment de la grossesse que tout se joue. Parce que vous fabriquez dans le ventre de la mère des maladies qui se développeront à l’âge adulte. Donc, c’est ce qu’on appelle les maladies d’origine fœtale. C’est à dire que si votre maman, à un moment crucial de la grossesse, au moment par exemple, où se fait la différenciation sexuelle dans le ventre de la mère, c’est à ce moment là, elle est imprégnée de produits chimiques.

La différenciation sexuelle se fera pas de la même façon.

Dérèglement hormonal, vous dites obésité, dépression, diabète, diabète.

Oui, l’obésité et le diabète. Le diabète a explosé. On, a priori, on ne relie pas le diabète avec les perturbateurs endocriniens, les perturbateurs hormonaux. Et pourtant, oui, c’est bien lié. Et on peut même fabriquer une souris diabétique ou une souris obèse en lui inoculant des produits chimiques qui sont des perturbateurs hormonaux.

Cette situation que vous décrivez derrière, il y a des intérêts économiques parce que, au fond, vous racontez comment l’agriculture utilise des produits chimiques pour améliorer la rentabilité. Tout ça, finalement, c’est l’économique qui triomphe sur la santé publique.

Oui, et malheureusement, c’est souvent l’économie qui qui gagne. Et il faut absolument inverser cette situation parce que ça joue sur la santé publique, les pesticides. Même là, en période en période de confinement, on a recommencé à autoriser des pesticides sur les betteraves, des herbicides, même des désherbants comme le glyphosate sur les betteraves, alors qu’on est en train de lutter contre ces produits chimiques. D’un autre côté, on les réintroduit à travers l’agriculture et à travers les additifs alimentaires, avec les produits alimentaires ultra transformés.

Donc, il faut vraiment prendre conscience qu’il faut une révolution si on ne veut pas aller vers une disparition des espèces parce que les insectes ont déjà énormément disparu. Les oiseaux, il y a beaucoup. Certains batraciens, beaucoup de batraciens disparaissent et on nous dit oh, c’est la faute à pas de chance, non. C’est la faute à beaucoup de produits chimiques qui sont déversés dans la nature et qui agissent de façon chronique non pas aiguë pour tuer les grenouilles, mais chronique en les empêchant de se reproduire normalement.

Le vaccin anti Covid, évidemment, on parle du bénéfice risque. On dit le Covid tue tous les jours. Vous dites aussi que le vaccin est un perturbateur hormonal.

Le vaccin anti Coby de Pfizer au Moderna, selon les textes même fournis par les laboratoires aux agences régulatrices comme le Hamas, l’Agence du médicament européenne. Ils disent eux mêmes que normalement, la protéine Spike qui est produite à partir du vaccin par le corps lui même. Normalement, elle doit plus ou moins rester à l’endroit de l’injection du vaccin. Mais en fait, on la retrouve partout dans les organes. On la retrouve dans le cerveau et on la retrouve dans le foie.

On les retrouve également et c’est là où il y a un effet hormonal dans les ovaires et dans les testicules et dans les ovaires. Ça a un effet délétère. Sur la formation des follicules et des ovules, il serait dangereux de vacciner les enfants. Selon vous, Corinne Alos.

On est toujours dans un produit qui est expérimental. C’est un produit qui est en phase d’essais cliniques, donc en matière d’essais cliniques. Il faut être très, très prudent. Les essais cliniques ne seront finis qu’en 2023. Donc, il faut une extrême prudence avec avec un produit qui est expérimental. On ne l’utilise pas dans une vaccination de masse. Un produit qui est expérimental, ça n’a jamais été fait. C’est aberrant.

Oui, vous dites. Au delà de tout cela, qu’est ce qu’il faudrait faire? On peut changer son mode de vie. De plus, 32 médicaments au quotidien, se nourrir de produits exclusivement vérifiés, c’est très compliqué.

Finalement, oui, oui, oui. Alors oui, avant. Avant d’en venir à cette question, je voudrais rajouter sur la question de Ducobu. Il y a une étude au Danemark qui a montré que plus vous êtes contaminé avec des perfluorés, donc des perfluorés, c’est ce qu’il y a dans les poils, par exemple. Et bien plus vous êtes contaminé avec ces produits là. Plus vous faites des Covid graves. Vous voyez? Donc, le système hormonal a aussi un lien avec le système immunitaire.

Donc, si vous protégez votre système hormonal, eh bien vous allez être moins sujets à attraper des virus ou à développer des Covid graves. A partir de ces virus? Oui, et c’est là où vous me posez la question. Effectivement, il y a moyen de se défendre en réduisant l’apport de produits chimiques tout au long de la journée et je donne toutes les clés dans le livre.

Oui, parce que c’est vrai qu’on pourrait dire, Corinne Lalo, que les facteurs aggravants du Koweït que sont l’obésité, le diabète sont aussi des facteurs provoqués, dites vous, par ces perturbateurs hormonaux.

Exactement? Exactement. C’est à dire qu’est ce que c’est qu’un Covid ou quelqu’un qui est malade, qui se trouve en réanimation? Ce n’est pas juste un virus, c’est surtout un hôte. La personne qui va recevoir un virus et comment le système hormonal va et le système immunitaire conjointement avec le système nerveux, vont négocier ce virus, comment ils vont l’intégrer et comment ils vont faire en sorte que l’organisme ne tombe pas malade. Et si votre organisme est sain et bien, le virus n’a aucun poids sur vous.

C’est pour ça que 99 99,9 des gens ne font pas de vide grave. C’est une maladie qui ne touche pas la grande majorité des personnes qu’elle touche. Ce sont des personnes qui sont affaiblies à cause d’un organisme qui est lui même malade. Beaucoup de comorbidité et souvent à cause de ces maladies hormono dépendantes que sont le diabète, l’obésité. Et il y a d’autres maladies comme l’autisme. Et il y en a d’autres, comme l’allergie et l’asthme, auxquels on pense pas, mais qui sont aussi liés aux perturbateurs endocriniens.

Toc toc! Vous dites? Parfois, on dit que ces maladies là sont faute à pas de chance. C’est un peu ce qu’on dit parfois à la naissance, on est comme ça. Et vous dites vous? Il y a véritablement une origine externe externe. Vous prenez dans votre livre la comparaison d’un bocal avec des poissons à l’intérieur et qui décrit bien fidèlement ce que vous dites.

Oui, c’est à dire que quand le poisson devient malade, ça sert à rien d’aller lui donner des médicaments. Ça sert à rien de dire ah bon? On va vacciner le poisson? Non, il faut changer l’eau et lui redonner une eau saine, non contaminée, qui va lui permettre d’avoir une bonne santé. Naturellement, c’est possible. C’est possible et il faut le savoir que c’est possible, simplement en faisant attention à son mode de vie.

Merci Corinne Lalo. Tout est dans le livre. C’est une très grande enquête qui nous empoisonnent à notre insu, publié aux Éditions du Cherche-Midi, en toute transparence. Le grand désordre hormonal. Merci Corinne Hello d’avoir été avec nous. Merci.

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