Vaccination obligatoire, les enfants seront injectés.
Les scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination : il est criminel d’inoculer à des enfants et des individus en parfaite santé un produit que les laboratoires n’ont pas fini d’évaluer (les essais cliniques se poursuivent en parallèle, d’autres ont été lancés à la lueur des premières données). Ils ont d’ailleurs eux-mêmes anticipé les risques de blessure et de décès puisqu’ils ont refusé d’assumer les dommages provoqués par les injections et qu’ils ont précisé dans les contrats qu’ils n’en connaissent pas les effets.
De nouveaux éléments renforcent les inquiétudes concernant la gravité et la réalité des risques vaccinaux :
- Surmortalité inquiétante chez les 15-44 ans (Décoder l’éco) observée depuis l’été dernier. Confirmée par plusieurs études (Pantazatos, Meyer, Crawford, Ohana, Kuhbandner), elle est désormais observable dans la plupart des pays : États-Unis (usmortality.com), Europe (euromomo.eu), notamment Allemagne, où elle serait corrélée au nombre de doses administrées.
- Surmortalité de 40 % dans la population active américaine constatée par l’ensemble des assureurs, qui dénoncent une situation historique. Même phénomène à Gilbraltar, pays le plus vacciné au monde (98 % de la population triplement injectée) qui affiche aujourd’hui un excès de mortalité de 157,23 %, toutes classes d’âge confondues.
- Hausse de 40 % du nombre de crises cardiaques, en Australie, entraînant des files d’attente d’ambulances dans plusieurs hôpitaux, avec des délais de prise en charge de 3 heures. Le ministère australien de la Santé et les médias évoquent une crise sanitaire sans précédent.
- Augmentation spectaculaire des effets secondaires graves en Allemagne : + 31,2 % d’accidents cardiaques, + 27,4 % d’AVC, principalement chez des femmes âgées de 20 à 40 ans. Les pompiers demandent un moratoire sur la vaccination (Berliner Zeitung), une clinique dit recevoir jusqu’à 400 mails par jour pour des demandes de prise en charge.