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Des scientifiques ont «combiné des coronavirus pour créer une souche mutante capable de déclencher une pandémie»

Des scientifiques travaillant à l’Institut de virologie de Wuhan avec l’armée chinoise «combinaient les coronavirus les plus mortels du monde pour créer une souche mutante capable de déclencher une pandémie juste avant le début de l’épidémie de COVID-19», rapporte le Sunday Times.

C’est ce qu’ont affirmé au média les enquêteurs américains, qui pensent que la COVID-19 a été créée par des scientifiques du laboratoire de Wuhan grâce à des expériences.

Les chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan fusionnaient des coronavirus mortels pour créer des souches mutantes hautement infectieuses, qui étaient ensuite utilisées pour infecter des souris albinos, affirment les enquêteurs américains.

Les enquêteurs estiment que le programme de recherche a été tenu secret et dissimulé parce qu’il était financé par l’armée chinoise dans le but de mettre au point des armes biologiques, rapporte le DailyMail.

Cette initiative secrète a conduit à la création du COVID-19, qui s’est ensuite répandu dans la ville de Wuhan à la suite d’un accident de laboratoire, avant de se propager dans le monde entier, affirment les enquêteurs américains.

La position de l’institut a toutefois changé en 2016 lorsque des chercheurs de l’institut de Wuhan ont découvert un nouveau coronavirus dans un puits de mine à Mojiang, dans le Yunnan, près de la frontière chinoise avec le Laos. 

Le coronavirus découvert dans le puits de mine de Mojiang serait le seul membre de la famille immédiate du COVID-19 à avoir existé avant la pandémie. 

Les autorités chinoises n’ont toutefois pas signalé les décès liés au nouveau coronavirus découvert dans le puits de mine de Mojiang.

Au lieu de cela, les virus du puits de mine ont été ramenés à l’Institut de virologie de Wuhan, où les chercheurs ont lancé un programme de recherche classifié, selon les enquêteurs.

Faire muter le virus

Les enquêteurs américains pensent que cette initiative de recherche classifiée visait à rendre le virus nouvellement découvert plus infectieux en le fusionnant avec d’autres coronavirus. 

Ils affirment que les faits relatifs à ce programme de recherche ont été tenus secrets parce qu’il était financé par l’armée chinoise, dans le cadre des efforts déployés pour mettre au point des armes biologiques. 

Dans le cadre de ces expériences, des souris albinos dotées de poumons semblables à ceux des humains ont été infectées par des virus semblables à ceux du SRAS, ce qui a entraîné un taux de mortalité de 75 %. 

Dans le cadre de l’expérience risquée, les souris ont été infectées par trois virus cultivés en laboratoire, issus de la fusion de virus similaires au SRAS et d’un virus découvert dans une grotte du Yunnan en 2012. 

Les enquêteurs pensent que ces expériences secrètes ont finalement abouti à la création du COVID-19, avant qu’il ne soit accidentellement divulgué par le laboratoire de Wuhan.

Ils pensent que le virus s’est échappé du laboratoire de Wuhan dans une ville de près de neuf millions d’habitants à la suite d’un accident de laboratoire. 

AFP

Les enquêteurs pensent qu’un certain nombre de chercheurs de l’Institut de virologie de Wuhan ont attrapé la COVID en novembre 2019, un mois avant que l’Occident ne prenne connaissance du virus.

Une étude de l’université de Wuhan montre que la zone entourant l’Institut de virologie de Wuhan a été le centre initial de la propagation du COVID-19.

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