Christian Perronne déballe tout pour le Nouvel An !
Christian, je devais évidemment ouvrir l’année 2023 du courrier avec une interview de l’imminence que tu es d’espèces de figures iconiques de la résistance et je voulais quand même que tu nous entretiennes pour cette début nouvelle parce que beaucoup de gens sont perdus et beaucoup de gens sont désespérés où sont désorientés par les 3 ans de narratif, comme on dit, qui qu’ils ont subi. Et je voulais que tu nous racontes en fait ton expérience de complotiste puisque c’est le terme consacré. Mais avant d’abord, je voudrais te poser une question indiscrète, comment tu as fait pour ne pas être radié par l’ordre des médecins ?
– Comment je vais fait? C’est je pense que d’abord il y avait mon histoire qui jouait pour moi parce que le Conseil de l’ordre? Je vais envoyer mon CV, j’ai envoyé mes 8 publications internationales pendant la crise du COVID, y compris dans le Grand Journal of médecine, que les plus grands journaux médicaux du monde, même si c’était une simple lettre, un pas pour dénoncer le l’étude Recovery, vous avez utilisé une dose mortelle de l hydroxychloroquine pour dire que ça marchait pas que c’était toxique.
– Donc voilà, et ils ont fait intentionnellement.
– Ah Ben c’est soit ils sont dans le l’investigateur principal de cette étude a dit, Oh Ben oui, c’est la dose habituelle recommandée par l’O MS pour l’amibiase oh à ma connaissance, on n’a jamais utilisé l hydroxychloroquine, on l’a mis bien. Peut-être qu au tout début de la médecine tropicale, les anciens trognes, les anciens tropicalistes avait essayé de la Coquine l’Amibiase avec ça marchait pas, mais ça a jamais été recommandé dans cette maladie et je pense que le gars il avait confondu avec l’un tetrix dans le nom de la molécule. C’est un mélange de 2 molécules a un nom proche de l hydroxychloroquine, il a dû confondre enfin. Apparemment, c’était des amateurs où ils ont fait semblant de faire les idiots leur disant, c’était la dose habituelle de Reims. Mais c’était quand même une dose. Faut savoir que L hydroxychloroquine si on utilise la dose très élevées. Je c’était même dans inscrit dans le livre suicide, mode d’emploi qui est un livre qui a été censuré en France depuis des années. C’est une un médicament à très forte dose qui est utilisé pour se suicider, donc et là quand même l’OMS, avec une université anglaise, fait une étude internationale. Et il y a quelques services d’ailleurs de maladies infectieuses français qui ont collaboré, qui ont accepté, et je comprends pas quand même d’ailleurs, les comités d’éthique ont accepté d’utiliser une dose quasiment mortelle de hydroxychloroquine pour faire une étude clinique. C’est halluciné.
– Charge une étude à charge.
– C’est terrible. Bon, voilà, c’est pour dire que concéder voilà, moi je j’ai montré mon CV j’ai montré ma bonne foi, que j’avais consacré toute ma vie au service de mes malades, que j’avais servi pendant 15 ans. Les autorités françaises. J’ai servi mon pays pour être conseiller président de Commission pour tout ce qui était maladie infectieuse, gestion de crise sanitaire, épidémie, vaccination. Même, j’ai été vice-président à l’O MS pendant plusieurs années. Pour le tout, le groupe d’experts pour l’Europe de l’O MS Alors la région euro de l’O MS c’est pas l’Union européenne. C’est toute l’Europe, y compris l’Europe de l’Est, l’Europe du Nord qui est pas dans l’Union européenne, c’est toute l’Asie. Collection RSS toutes les républiques russophones d’Asie centrale, la Turquie, Israël donc, c’est ça va jusqu’à Vladivostok à c’est la grande Europe de l’O MS donc j’étais vice-président pendant plusieurs heures.
– Ils ont bien vu que d’ailleurs j’ai apprécié. Quand le Conseil de l’ordre dans son verdict final, a dit qu’y avait aucune donnée dans mon dossier dans ce que j’avais dit que j’étais anti vax. Au fond, avant le COVID, tu n’as pas été connu pour des positions anti?
– Vax bah pas du tout ce que j’ai soutenu. Les vaccins, même le ministère de la santé m’a envoyé dans les médias pour sortir les vaccins, donc c’est un c’est un peu paradoxal, mais c’était drôle parce que c’était à la fin de l’année, je réfléchis sur les années. Oui, c’était 2000 vingt-et-un vers novembre Ivan Rioufol que qu’un journaliste que j’admire beaucoup parce qu’il est resté très droit dans cette boîte, c’est indépendant, m’invite sur sign News et j’étais le seul invité. Bon, il a pris des risques parce que le Conseil supérieur de l’audiovisuel avait dit C’est interdit d’inviter Perron tout seul. Il est très dangereux, il m’invite et là je dis qu’effectivement, il y a la mortalité plus élevée chez les gens qui ont qui ont l’inoculation du pseudo vaccin par rapport aux autres. C’était ça les données de santé publique Angleterre. J’avais montré les chiffres, c’était 4 fois plus de risques, en était inoculés par le pseudo vaccin que si on n’était pas vacciné. Et puis 15 jours après, je suis convoqué par le Conseil départemental de l’ordre des médecins des Hauts-de-Seine. Là y a mon hôpital. Qui me disent, Écoutez Monsieur Perron, Madame, vous avez tout le droit de parler des vaccins, sinon on va être obligé de prendre des mesures contre vous et puis aussi ils étaient pas méchants, mais. Puis alors moi du coup, ça c’était juste avant le Noël en janvier noêl 2.
– 1000 vingt-Et-un vingt-et-une dernières, donc, au début de cette année. Janvier 2022 Je retourne sur des médias alternatifs cette fois-ci, parce que j’étais toujours le banni, banni. Sur le média principaux. Et puis Ben ça, le Conseil de l’ordre des médecins m’a interdit de parler des vaccins, mais ça tombe bien, parce que là c’est pas des vaccins, donc du coup J’ai tout à fait le droit de parler librement. Qu’il m’avait dit, Vous n’avez pas le droit de parler en tant que professeur de médecine parce que vous, mais vous pouvez vous exprimer en tant que citoyen, mais vous avez pas le droit de mettre en avant votre position et c’est pour ça que dans les médias, en janvier 2022 je dis, Ben Moi je suis pas le professeur Perron, je suis un citoyen, Péronne, donc je parle en tant que citoyen lamba. Vous avez? C’est finalement j’utilisais leurs arguments et finalement la chambre disciplinaire. Moi j’étais impressionné parce que la chambre disciplinaire, faut savoir, c’est le président, c’est un magistrat. Là c’est une femme, une magistrate professionnelle. Et ils étaient 6 au total, donc il y avait des médecins.
– Que tu connaissais?
– Non pas du tout. Alors je connaissais pas du tout et j’étais un peu impressionné parce qu’ils sont habillés en toge rouge avec l’hermine, c’est vraiment un vrai tribunal. Mais je t’ai trouvé très factualiser Ben ils ont pas cherché à faire des mamours ou être contre moi et j’ai trouvé correct droit dans leur bottes quand j’ai jamais cherché à m’humilier où il voulait juste avoir des informations. J’ai vu qu’ils connaissaient très bien le dossier parce qu’avec mon avocate m’a Benasque je le remercie sans l’avocat remarquable et j’avais fait tout un travail en amont. Fallait renvoyer des sources écrites, on avait plein de questions, on répondait, ça faisait des mois que la procédure durait. Et donc ils connaissaient tout ça et finalement. Moi j’aurais d’écouter moi, j’ai pas à rougir de ce que j’ai fait. Voilà, j’ai soigné mes malades, j’ai jamais une plainte. Elle est tous les malades et surtout sur la maladie de langue. Ils étaient très contents. Tout ce que j’ai fait sur le sur l’aspect plus santé publique. Ben j’ai servi mon pays pendant 15 ans au ministère, tout le monde m’adore et puis maintenant d’un seul coup du jour au lendemain, je suis traité de charlatan. Ben j’aimerais comprendre bon puis après Ben je pourrais pas aller au-delà, j’ai pas beaucoup parlé mais j’ai répondu à leurs questions.
– Ça fait quoi d’être traduit devant un tribunal par ses pairs pour des positions sur la médecine?
– Alors ça m’a fait la première fois, j’ai été convoqué par l’ordre des médecins. C’était en juillet 2020 donc c’était la fin de la première vague, y avait plus de COVID, tout allait bien et il y avait un jeune médecin que je connaissais pas du tout docteur Nathan, et faire smadja, qui était interne à l’hôpital Bichât à l’époque, un petit interne comme ça, qui fait une pétition nationale au mois de juillet. Pour demander que soit convoqué dans le Conseil de l’homme pour être sanctionné. Viola, un interne? Et c’est quoi cette histoire? Je comprends pas ça. C’était début juillet et du coup fin juillet, je suis convoqué par la Chambre départementale du Conseil de l’ordre des Hauts-de-Seine, là où y a mon hôpital à garges, alors ça m’a un peu embêté parce que je devais revenir de vacances. Donc bon, je suis convoqué par le Conseil de l’ordre, je vais venir, c’est une rencontre qu’on fraternelle, on vient pas avec son avocat, c’est juste, on est, on est face au bureau du Conseil de l’ordre qui sont 4 ou 5 avec le président de vice-président, de trésorier et le secrétaire. Bon et mais la première fois que j’étais convoqué comme ça, je me suis senti un peu humilié en disant, mais qu’est-ce que j’ai fait de mal? J’ai servi mes malades toute ma carrière, j’ai servi mon pays, tout le monde donne admirer ce que j’ai fait. J’ai pas une seule casserole en 15 ans, je pense pas qu’il y a beaucoup de dirigeants de santé publique et pas de casserole en 15 ans hein, moi je faut me les montrer hein, j’en connais pas beaucoup et c’est moi et c’est pas moi qui suis, c’est j’ai pas été viré du de mes de la présidence de la Commission, du Haut Conseil de la santé publique, c’est moi qui ai démissionné. Parce qu’il voulait absolument que je renouvelle toutes mes tous mes mandats et ça devenait ingérable parce que ça c’est un autre sujet. Mais ils ont supprimé tellement les moyens au ministère de la santé y a y a 20 ans, c’était génial, il y avait plein de médecins de santé publics que j’admirais beaucoup, qui y avait des jeunes, les plus anciens qui travaillaient dans la direction générale de la santé. À l’époque, la direction générale de la santé, ça avait de la gueule, hein? C’était une grande structure au sein du ministère. Ça c’est pas la DGS actuelle qui est tombée dans le caniveau, je dirais, c’était vraiment Ben non, mais faut être réaliste en réa. À l’époque, c’était vraiment des médecins que j’admirais, qui connaissaient beaucoup de médecins professeurs dans toute la France, qui pouvaient animer des groupes de travail. Et puis d’un seul coup, après, j’ai pas compris sur le moment mais après j’ai compris que c’était une espèce de manipulation qui était déjà organisé. On a à l’époque ça s’appelait le Conseil supérieur d’hygiène publique de France. J’étais président de tout le Conseil supérieur d’hygiène publique de France à la fin et le Conseil supérieur d’hygiène publique de France, c’était les locaux. Quand on se réunissait, c’était dans le ministère de la santé et on travaillait en harmonie avec la direction générale de la santé. C’était merveilleux.
– J’étais à quelle?
– Époque mais le Conseil supérieur du jeune public de France a été dissous pour devenir le haut Conseil de la santé publique. Quand j’ai et puis les dates, enfin, ça fait déjà au moins une dizaine d’années, voire plus. Je sais plus trop la date parce que j’ai pas révisé avant l’interview, je suis désolé. Enfin c’était une structure magnifique. J’étais fière de faire partie de ça. Il y avait des gens magnifiques au ministère et d’un seul coup, on est devenu de l’eau. Conseil de la santé publique donc, alors le prétexte, c’était oui le Conseil sup, comme on disait Conseil sup, on appelle ça le Conseil sup entre nous est trop proche du ministère parce qu’il est dans le ministère, y a pas d’indépendance, on subit. Je vais jamais l’impression de subir la pression des autorités parce qu’on travaille en harmonie, mais d’un seul coup, les fonctionnaires énarques. Je sais que vous êtes énarque repentit répond,
– Mais où Sience Po? Tout ça, c’est pas possible, faut arrêter, c’est de la collusion. On va créer une nouvelle structure qui est devenue le haut Conseil de santé publique et nous envoyer à Montparnasse, ça c’est grand bâtiment moderne au-dessus de la gare Montparnasse. Dans des salles, on voyait pas le jour, il y avait pas de fenêtre et d’un seul alors que moi je j’aime bien. Au ministère, on avait des grandes salles qui étaient agréables et vous avez la lumière du jour, la date qu’on s’est trouvé là. On s’est dit, on vous envoie Montparnasse, c’est pas pour vous punir, c’est pour que vous soyez indépendants du ministère et là avant on avait au moins 10 médecins de la direction générale de la santé qui travaillent avec nous, qui préparait les dossiers qui étaient géniaux et qui connaissaient tous les médecins en France qui pouvaient faire des groupes de travail comme ça la demande. Et là, à Montparnasse, j’avais un médecin de santé publique qui était une femme aussi remarquable, mais qui était toute seule pour faire le boulot de ce que faisait 10 ou 15 avant quand j’étais au ministère de la santé et la et la pauvre faisant travailler absolument énorme. Je suis très reconnaissant tout ce qu’elle a fait, mais petit à petit, on nous a enlevé les moyens. Enlever les moyens, les moyens, et on nous demandait chaque année de plus en plus. C’est pour ça que c’est moi-même qui ai démissionné. De Conseil?
– De cette fonction de présidence de la Commission maladie transmissible du haut Conseil de la santé publique. Et finalement j’ai bien fait de quitter le navire à ce moment-là parce que le navire commençait à couler, mais je j’ai toujours eu un instant dans ma vie.
– Mais concrètement, quand même, quand c’est interne, feiffer smadja lance une pétition pour te dénoncer, est-ce que tu penses que c’est quelque chose qui est spontané, qui est sincère? Où est-ce que c’est une opération téléguidée?
– À faut lui demander, moi, je pense qu’il est pas tout seul mais enfin moi je peux pas juger de mais j’ai trouvé ça terrible parce que ce petit Nathan peut faire ce match là. Je le connaissais pas, c’était un interne. Je pense qu’il a il a pas eu beaucoup de choses dans sa vie parce qu’il a pas eu la chance de passer chez moi comme un terme pour être formé vraiment. Bon, moi je peux pas connaître tous les internes de la planète et je dis c’est qui ce gars? Il fait une plainte contre moi nationale, une pétition alors il a dû un peu rabattre son caquet parce qu’y a une contre-pétition faite par des organisée par des patients que j’avais soignés pour la maladie de l’œil et qui a eu bien plus de signatures que la sienne. Bon moi je dis bon, c’est un petit gars et il s’égare un peu. Je j’ai même pas réagi parce que les gens ne tu dois porter plainte contre lui. Bon j’ai dit. Puis après? Parce que moi je suis pas sur Twitter. Euh, je vais jamais sur ces tous ces réseaux qui finalement m’énervent un peu bon. Mais j’ai des copains qui sont tous les jours sur Twitter, qui m’envoient 14 tweets de Nathan, peut faire smadja pendant l’été 2020 qui m’insulte du Mec ce qui qu’est ce qui fait ce petit gars, qu’est-ce que je lui ai fait? Je connais même pas. Bon je laisse tomber parce que les gens m’ont dit que tu devrais porter plainte contre lui au pénal.
– Toi, tu le VIS, commences ce qui commence à ressembler à un harcèlement ou à une campagne?
– De dénigrement, honnêtement, en interne de bichât. Tu m’insultes, je le connais même pas, je sais pas d’où il sort, il est juste un terme même si là il était à l’époque il était quand même, il faisait une thèse de science à l’Impérial collège à Londres, à l’Impérial collège, qui a dit qu’on allait avoir des centaines de milliers de morts en Grande-Bretagne en France il y a ans 10000000 de morts en Europe? Bon voilà, il faisait ça. Sa thèse de science là-bas, moi je le connaissais pas. Et puis, CE qui m’a choqué alors après?
– Est-ce que durant l’été 2020 tu ressens d’autres pressions où tu perçois d’autres signaux du fait qu’il va y avoir une campagne de dénigrement? On peut pas par Nathan, peut faire ce manza je vais pas d’autres pas d’autres signes sauf quelquefois les gens qui faisaient des un peu des adjectifs publics. Et lorsque ce que t’es très drôle c’est que je crois que c’est le c’était le 31 août, soit 2020 C’était sur les grandes gueules sur RMC Ben c’est la première fois que je cite Nathan préfère manger ça sans même le nommer. Je dis, hein? Interne de Bishop qui a dit ça bon, il venait de sortir, ça avait fait la une de tous les journaux. Il mettait analyse que le l’Hydroxyde Chloroquine, ça marchait pas que c’était très dangereux bon. Puis on lit l’étude avec des collègues scientifiques. On ne sait pas possible parce qu’ils ont pas pris en compte toutes les études publiées. Et moi,
– Je vous prie de Roxy. Chloroquine est un médicament ancien.
– Ben voilà, mais c’est qui était vraiment? Puis des décennies sans aucun, sans aucun problème, qui était jusqu’à janvier 2020 au même avant que le virus arrivé en France, comme Agnès Buzyn a transformé hydroxychloroquine qui était en vente libre dans toutes les pharmacies françaises. Comme si on achetait des les petites gommes à mâcher pour la gorge ou des carambars qui étaient en vente sans aucune ordonnance d’un seul coup, c’est devenu une substance vénéneuse.
– Bon, comment on explique ça parce que toi tu t’es dis y a des signaux?
– Faibles de programme bien évidemment parce que faut pas me prendre pour un con, hein. Sur le coup, le produit qu’on prescription des décennies que j’aimais tuer, personne dans ce coup d’une substance vénéneuse, puis quand on a vu, j’adore le coup de véran la première fois, il a dit que la chloroquine ça tuait. Je sais pas si tu te souviens, y avait un, il y avait un Américain qui était malade, qui voulait absolument de la CHLOROQUINE, puis aux États-Unis c’était compliqué, il y avait des médecins qui refusent de prescrire, c’est un c’est quand mon médecin, le pape donner chloroquine, il va la de regret du coin, il achète un produit pour nettoyer les aquariums, ce qu’il avait vu qu’il y avait de la chloroquine dans le je me suis étape il y avait pas que la chloroquine y avait des produits très toxiques pour l’homme mais peut être pas toxiques pour les poissons mais le mec il est-il avale une partie du flacon, il meurt. La véranda web Regardez, vous avez vu? Première victime de la Chloroquine aux États-Unis. Enfin, il était ridicule vers ans, parce que c’était tellement con et après on a on a diabolisé la chloroquine quoi, c’était est-ce qu’est-ce que tu penses que l’inscription de la Chloroquine comme substance venimeuse avant le COVID très peu de temps avant, le confinement était un acte conscient d’analyse ça faisait partie du plan parce que faut pas nous prendre pour des idiots. Ça fait des années et des années qu’on nous prépare à une pandémie terrible, alors on voit des textes d’athalie de classe Fab. J’avais pas vu cette vidéo. Cathy dango the Supermarket vous pouvez trouver sur Internet alors c’était pas le cœur code à l’époque, c’est ça remonte à des années et des années déjà, la mise sous contrôle de la population dans un dans un petit clip qui dure quelques minutes, c’était génial. À l’époque, c’était le, c’était le code Barre, c’était pas encore le cœur code, mais il fallait payer avec le code Barre et tout ça c’est donc il y avait tous les signes et même la couverture de The Economist, janvier 2019 Économie, c’est le journal des Rothschild. Bon moi je suis pas copain avec les Rothschild, je les salue mais couverture et à l’homme devait être Léonard de Vinci qu’à Cabra 4 jambes et tout ça, il a le cœur code dans la main, il a le tatouage quasiment de l’a RN du vaccin dans le bras, il a un pangolin à ses pieds, je veux dire Tu m’aurais demandé en janvier 2019 c’est quoi un pangolin? Je sais pas, je connais pas, je m’entendais parler de l’Angola, je suis peut-être ignare en zoologie, mais bon voilà, je connaissais pas et puis après y a Bill Gates qui fait une répétition générale de la pandémie quelques semaines avant voisine, c’est quand même fort, il est-il est fort Bill Gates il a il a récidivé dire quelques années après parce que l’année dernière c’est tu te souviens? Il y a eu le coup de la de l’attaque de la cyberattaque?
– Maintenant de la variole, du singe oui aussi. Et justement j’étais en Belgique parce que t’es belle. J’étais à ce moment-là. Sur la route entre gants et Namur, je vais faire des conférences sur la maladie de Lyme et puis j’étais dans la voiture et une amie belge qui me conduisait. Puis je vois sur mon téléphone, ça y est alerte mondiale, la variole du singe communiqué du ministère de la Santé, 15 cas le même jour dans 15 pays différents aux 4 coins de la planète, il y avait l’en Australie, au Brésil, en Espagne et en Suède le même jour, tout le monde à la variable du singe. C’est quoi cette histoire? Puis les gens qui avaient pris l’avion, qui s’étaient pas rencontrés, donc c’était évident que c’était qui alors je cherche un peu, puis je vois la Bill Gates avait fait une répétition générale, d’ailleurs, il avait investi sur le vaccin de la variole en 2019 et un an avant les l’émergence de la variole, du son, je suis plus c’est un an exactement on va faire plusieurs mois avant il fait une répétition générale, il est attention à l’année prochaine, il avait même donné la date, il est très fort Bill Gates ça sera mai 2022 Il y aura une pandémie de variole du singe, je regarde puis je vois l’Agence du médicament européenne fin 2021 Enregistre un médicament miracle si jamais il y a la variole. Du sang, je médicament que je mettais testé chez l’homme, il est déjà prêt, enregistre l’Agence européenne du médicament. Alors on sort, on était encore dans la crise COVID mais qu’est-ce qui nous sorte encore? Et j’avais fait d’ailleurs une lettre. En français, puis qui était très vite en anglais, qui a fait le tour du monde. Mais arrêtez votre délire sur la variole du singe et ce qui m’a fait beaucoup rire, c’est 15 jours après que c’est l’homme de TF un qui m’attaque à gros titre. Savez tous les experts de l’Inserm, donc l’Inserm, c’est la, l’institut public de recherche en France, tous les experts de l’ancien contre le professeur Perronne pour la variole du singe. Or si j’ai toute une simple contre moi. Chapeau que je qu’est-ce que j’ai fait? Bon, je lis l’article. Alors ça j’adore parce que les journalistes qui désinforment, il faut un titre et elles continuent. L’article est complètement différent mais ça fait plusieurs fois qu’on m’a fait le coup donc si généralement parce que ce n’est pas celui qui fait l’article qui fait le titre, son article est trop beau. J’ai vraiment. Y a un éditorialiste.
– Qui durcit, merci de ton éclairage. J’avais déjà observé, voilà, alors je lis l’article, tous les experts. En fait, c’était ingrat, qui était un petit gars qui travaille à l’Agence nationale de recherche sur le sida. Les RS qui va rattacher à une scène, mais il était tout seul pour me dire maintenant prendre n’importe quoi. C’est tout à fait normal qu’il y ait 15 cas, 15 quart de la planète en meme temps. Bon voilà j’ai envie de rire en disant mais comment les médias c’est quand même TF un? Ils ont normalement devrait avoir une crédibilité peuvent sortir des âneries pareilles. Ben finalement ça me fait rire, j’en ai rien à foutre non, mais sur le COVID, quand est-ce que tu t’es dit c’est pas une épidémie? classique. Il y a des forces à l’œuvre pour orienter l’opinion où influencer l’opinion. Quand est-ce que tu fais la bascule?
– Parce que d’abord j’avais été mon cerveau, avait réagi déjà l’histoire de truquer de la maladie lacronique. Bon, je le dirai brièvement parce que là, le sujet de l’interview c’est pas la maladie de Lyme, mais la maladie de Lyme, c’est dû à une bactérie qui s’appelle Borrelia, transmise pour l’éthique. Donc l’éthique. Vous en avez dans la forêt, mais il peut en avoir dans les jardins un peu partout et alors tout le monde qui est piqué par une tique? Sont pas malades, mais il y avait peut-être qu’il y a y a quelques décennies, parce que l’éthique et les Bordelais existait depuis la nuit des temps. Si on veut, si t’étais piqué, il y avait peut-être 2, 3 % d’éthique avait la bactérie. Puis après bon, les gens résistent naturellement. Donc le la maladie était pas très fréquente, mais on sait y a des maintenant des livres qui le prouvent que cette bactérie a été modifiée par les Japonais, les nazis pendant la 2ème Guerre mondiale parce qu’ils voulaient faire des armes de guerre. Bactériologique, les Japonais avaient utiliser des armes qui tuent quand les faut bien retenir cette leçon de l’histoire quand t’es japonais ont voulu envahir la Chine avant de débarquer, ils ont balancé de la peste, du choléra, du charbon qu’on appelle maintenant tracks. Enfin vraiment en français, c’était le charbon bon cartonne par avion, hélicoptère sur la Mansouri. Et il y a des centaines de milliers de Chinois qui sont morts. Bon, les Japonais étaient très contents, ils débarquent et là catastrophe, les Ben les soldes, les soldes japonais meurent en mer en écho quoi, on a contaminé l’environnement, on apparaît, ils avaient pas pensé, ces idiots que les bactéries reconnaissent pas les uniformes. Après, ils ont échangé avec leurs collègues nazis, alors là, on a été un peu trop fort. Là, ils vont dire qu’on est une idée géniale. On vient de découvrir les borrelia qui étaient découverts par suédois, puis y avait Jean Nicole que j’admire beaucoup, qui était un Rwandais mais qui était direct en Institut, pasteur de Tunis, qui a beaucoup travaillé là-dessus. Il travaillait sur Borrelia, qui est une bactérie, comme de découvrir qu’il pouvait des problèmes de paralysie, de dépression, de problèmes cardiaques, de fatigue, de rhumatisme. Ça, c’est bien ce truc là, parce que finalement ça tue pas ça handicap, ça peut toucher aussi des civils les animaux. Tiens Ben c’est parfait, on va balancer ça partout, mais encore c’est des connards. Parce que sur balance sa partout qu’on contaminé l’environnement, ça va contaminer l’environnement pour tout le monde, pour longtemps, y compris pour les personnes qui ont balancé ces saloperies par les Japonais l’ont balancé plein en Sibérie orientale pour attaquer les Russes. Moi je sais par des témoignages récents de cette peut-être avant la guerre en Ukraine, quand elle, les gens pouvaient aller librement en Russie. Vous avez un ancien malade qu’elle avait fait tout le tour de la Sibérie et il y avait des grandes pancartes dans les forêts qui étaient marqués. C’était en russe. Mais bon, attention, elle mettait pas les pieds dans cette forêt, y a plein de tiques japonaises qui datent de la guerre. Quoi qui très dangereuse. Bon elle est et les Allemands, moi je le sais par des témoignages d’anciens professeurs allemands. La Louve va faire ça. La l’aviation allemande et puis le vermaak était le l’infanterie dans le balancer plein de tics dans toute l’Europe centrale. Alors sur l’Ukraine, sur la Pologne, sur le la Tchécoslovaquie, sur la Yougoslavie, et cetera, comme arme de guerre. Mais ils étaient complètement cons parce que finalement, ça a contaminé l’environnement. Ça, c’était dans les années 40. Mais après, il a fallu peut-être une vingtaine d’années pour que l’épidémie démarre. Et puis ça envahit toute l’Europe et maintenant les ce que j’appelle l’éthique militaire, que. Dans l’épicentre était dans l’Europe centrale, envahit tout, même la France, la Hollande, la Belgique. Quoi y a fronça progressé depuis l’Est et qu’et maintenant les bah, quand je discute avec des forestiers parce que je travaille beaucoup avec les forestiers bon, qui sont maintenant à l’âge de la retraite quasiment quand ils avaient 20 ans, ils ont envoyé une pique de temps en temps. Enfin bon, c’était pas très méchant. Maintenant quand on met un pied dans la forêt, on a des vingtaines de types qui nous gardent sur les jambes, c’est une invasion totale et ça c’est l’éthique militaire qui ont été trafiquées par les nazis. Laboratoire de recherche qui expérimente sur les humains dans les camps de concentration. Je rappelle que quand il y a des ça, des journalistes qui vienne avec cette technique, avec qui se renseignent, qu’ils fassent un boulot d’investigation, ce qu’ils savent que dans le camp de concentration de Dachau, donc dao on va vière y avait un institut de sur entomologie, un institut d’entomologie, où on faisait des essais sur les prisonniers. Y avait pas que des types qui avaient des moustiques, les puces, les poux, ils avaient tout essayé, les Allemands, les maladies transmissibles par les vecteurs donc voilà, je reviens sur cette histoire maladie chronique, parce que le comme c’est arrivé aux États-Unis parce qu’ils ont récupéré les chercheurs nazis, japonais et que ça c’est tombé sur la maladie de Lyme parce qu’ils faisaient leurs recherches juste à côté. Et elle faut savoir que les autorités américaines ont mis des millions de dollars dans la partout pour contrôler toutes les sociétés, ventes les journaux médicaux pour dire la maladie lacronique n’existe pas et ça fait presque 40 ans que ça dure. Moi je me bats là-dessus depuis plus de 20 ans, donc j’ai vu toute cette manipulation. C’est y a des éditoriaux tous les ans donc cette manipulation par exemple faut prendre l’exemple de la PCF c’est tu sais, la PCR c’est ce test, on amplifie des fragments d’acide nucléique sur l’a DN ou l’a RN selon les germes. Quand il y a pas beaucoup de jeux de microbes dans un milieu, on peut l’amplifier des millions de fois et le trouver alors dans la maladie lacronique des grands chercheurs qui sont sous influence éventuellement financière, publient régulièrement dans les plus grands journaux du monde médicaux. C’est maintenant qu’elle est grand indépendance vis-à-vis de certains.
– Est-ce que tu le savais? À l’époque, c’est à dire quand tu as fait tes travaux sur la maladie de Lyme, est-ce que la soumission, la subordination? Des revues scientifiques au laboratoire pharmaceutiques étaient.
– Connus j’ai pas vu tout de suite, mais j’ai découvert au fil des années et que quand j’ai vu les éditoriaux, tous les ans pour dire attention, ne faites jamais de PCR pour diagnostiquer une maladie de Lyme. La PCR c’est un test qui est pas fiable, qui est beaucoup trop sensible. Il y a beaucoup de faux positifs dans beaucoup de gens qui sont diagnostiqués maladie de l’âme sont pas des vrais livres, c’est une erreur du test. Bon ça déjà j’ai des convaincu de ça bon quelques années après je le COVID arrive. Je vais ran qui dit allez, on fait des passeurs à tout le monde.
– Est-ce que là tu te dis y a une manip?
– Ben bien sûr, mais kory mollis, qui était le l’américain de la Hoya en Californie, qui a eu un prix Nobel, c’est lui qui était le découvrir. La PCRYA ça fait déjà longtemps. Moi, j’étais tout jeune, directeur adjoint du centre de référence de la tuberculose à pasteur. À ce moment-là, je vous avais dit surtout le PC à la fête. Jamais on est en dépistage de masse en population qui a pas de symptômes parce que j’ai toujours des faux positifs même si le test est parfait donc pour l’exemple de la tuberculose, si moi je suis un médecin que j’ai vraiment quelqu’un qui a dessiné de tuberculose à quatre-vingts pour 100, c’est une tuberculose, même si j’ai pas encore la preuve. Il crache ses poumons et tout, s’il a des lésions radiologiques évocatrices, il a une caverne donc je fais une PCR c’est positif, c’est un argument de plus pour conforter mon diagnostic. Et si y a 3 % ou 5 % de faux positifs faut que j’ai des centaines de tubercules comme ça pour avoir un faux positif donc dans ce contexte, le test est très fiable. Maintenant, je fais le même test au ministère de la santé. Demain, je vais au ministère de la Santé à Paris. Ce sont des milliers de fonctionnaires, je leur fais la PCR mais je le trouve tout de suite, des dizaines de CAPS tuberculoses qui sont en pleine.
– Forme, je fais monter artificiellement les statistiques.
– Voilà et je peux faire le même test sur la chaude piste. Je suis au ministère de la santé, je suis un test sur la chaudière des armées, c’est mieux.
– Mais non, mais c’est pour dire que ce délire, son PC à et malheureusement, Karim Ulysse, l’inventeur de la PC est mort juste avant de COVID. C’est dommage parce que là, je pense qu’il aurait hurlé dans les brancards.
– Mais est-ce que parce que là c’est la question que les gens se posent quand environ dit on va mettre tout le monde sous CR tous les jours, est-ce qu’il sait, est-ce qu’il organise une manipulation de l’opinion pour faire monter les chiffres, pour dramatiser la l’épidémie de COVID,
– C’est une évidence parce que déjà la première vague, c’était la seule vague sérieuse. Moi j’étais encore chef de service à garches. Là, on était inquiet parce qu’effectivement il y a, on a eu, je crois, jusqu’à 40 malades en même temps dans l’hôpital. Bon, mon service était assez grand, mais il a fallu mobiliser des mais il y avait des services de rééducation qu’on libérait les lits pour mettre des malades et c’était très sympa d’ailleurs parce qu’il y avait tous les médecins, mais les chirurgiens qui on avait demandé d’arrêter leur activité des même, des soignants, médecins et infirmiers, aide-soignants, d’autres services qui venaient nous aider. C’était un grand élan de solidarité. Je voudrais vraiment remercier tous ces tous ces soignants qui sont mobilisés. À l’époque, on avait la trouille. Effectivement, il y avait jusqu’à 40 malades dans l’hôpital. Bon, et on a très bien géré. On a donné la chloroquine. En tout cas, garches à beaucoup de gens et on a sauvé la plupart et c’était super bon.
– C’était des gens de quel âge?
– Mais il y avait tous les âges, mais les gens qui étaient à risque étaient quand même des gens de plus de 85 ans, des grands obèses, c’est pas le petit obèse qui a peu de surpoids, c’était les très grosses obèses ou les grands diabétiques. Les gens qui ont des gros problèmes cardio-respiratoires. Lire temps, boxent ce que vous avez dans les médias. Les médecins d’écoles immunodéprimés sont à risque, les immunodéprimés modérés, genre les gens qui ont des maladies auto-immunes. Lupus, une, polyarthrite rhumatoïde ou des petits traitements immunosuppresseurs légers. Ils ont été protégés parce que ces traitements, en effet anti-inflammatoire, et c’est pas le virus qui tuait, c’était l’inflammation, les thromboses. Donc, finalement, on a eu des super résultats. Bon au mois de juin, l’épidémie schlager l’été 2020 tout va bien, alors là, on commence à nous sortir au mois d’août, c’est la catastrophe, le 2ème, les premiers qu’on fait ça, c’était les Espagnols. J’avais envie de rire, un jour, j’avais un journal télévisé en Espagne, au mois d’août 2020 en prime time, là en Espagne, et le la journaliste paniquée appelle un gars d’un service de réanimation dans un des grands hôpitaux universitaires de Madrid. Disons docteur, alors c’est la panique chez vous égale y attendait de quoi vous parlez là mais j’ai pas on dit qu’il y a des malades partout dans les hôpitaux de écoutez je suis pas au courant oui des malades COVID ou pas un bruit on en a 3 dans le service mais tout va bien et à ce moment-là la journaliste commence à insulter médecin de vous raconter n’importe quoi. Il y a même le directeur du Plateau qui est venu pour interrompre l’émission parce qu’il commence à se taper dessus donc voilà on a manipulé les médias pour nous faire, il y avait le variant l’espagnol, après le variant d’anglais sud-africain après y a même en France y a une variant en Breton, le variant l’Alsace c’est un bon et tous les 3 mois nous sortent à nouveau variant que les décimales, la planète et manque de bol pour eux. Parce que moi j’ai quand même fait des études de virologie et on sait que les virus aériennes quand ils ont été un peu méchants pour l’homme la première fois ce que t’es un peu le cas de la première vague. Après ils sont de moins en moins virulents donc dans le sur la 8ème vague à 9ème vague, la 10ème vague, la 2ème vague. Moi j’adore parce que moi je vois bien vous souvenez du film, il y avait Brice Denis, c’est et Gordos Gore. Là, moi je vois bien, je vois bien véran Brice de Nice qui attend le rat de marée sur Nice avec sa planche de surf, et puis le nouveau, la François drone en Igor qui attend la prochaine vague. Donc ils font rire quand ils nous font peur avec des vagues et quand je quand je plein de collègues dans les hôpitaux, on voit pratiquement plus de COVID à l’hôpital les COVID, maintenant c’est des bronchites, des rhumes.
– Il y a une question que l’on se pose, quand verront quand François Braun font peur à l’opinion? Quitter les guides, pourquoi ils le font? Quel est leur intérêt? Qui leur en a parlé? Qui servent ils, ce qu’ils ont un intérêt personnel à le faire?
– Je sais pas, c’est un intérêt personnel, mais ils sont manipulés parce qu’on peut faut pas me raconter des sornettes. Moi j’aime bien les fêtes. Une épidémie, c’est une épidémie. En juillet dernier, je préfère les statistiques récentes. Déjà en juillet, j’avais regarder la mortalité de COVID en France, c’était 0,0002 % Peut être un film, c’est à dire que c’est la mortalité de n’importe quelle virus respiratoire. J’ai beaucoup de respect pour les gens qui sont décédés pour leur famille, parce que malheureusement la cette épidémie n’est pas complètement terminée. Il y a encore des formes graves, il y a encore des décès, mais s’il y a des décès, c’est la faute des autorités, hein, faut bien le comprendre parce que normalement tout médecin devrait le devoir si le respecter le serment d’Hippocrate se dit à tous les médecins français, vous avez le devoir de prescrire l’hiver. Médecine azithromycine la vitamine D, Lausanne. Y a des publications internationales et l’effet dans tous les pays qui ne démontrent n’écoutez pas les autorités qui vous menacent, c’est votre devoir de sauver des gens et c’est un scandale complet qu’on est attaqué. Des médecins qui ont sauvé des vies. Pour moi, c’est le plus grand scandale de l’histoire de la médecine depuis des années. Donc voilà, on sait qu’on peut sauver les gens. Il y a encore quelques formes, des gens à risque qui peuvent faire encore des formes graves. Mais sinon, l’immense majorité des Français ou des Belges ou des Européens, ou toute la planète qui font aujourd’hui des COVID, c’est bon, ils ont un peu de fièvre pendant 2 jours, une petite bronchite, un rhume, ils sont fatigués pendant quelques temps, euh ils s’en sortent très bien. Et puis même si les médecins refusent l’Hydroxyde Chloroquine, l’hiver, médecine et cetera, ils peuvent acheter tout seul de la vitamine D, de la vitamine C, du zinc. On peut acheter en boutique bio de la nigelle. Nigeria, c’est le climat noir, il y a une étude randomisée au Pakistan qui a montré que ça marchait. Bon malheureusement, d’artemisa est interdite en France et en Belgique, c’est les 2 pays du monde ou c’est interdit. Bon c’est comme ça. Mais on peut l’acheter.
– Certes misia annua.
– Bon ou annuel ou les autres? Je pense qu’elle marche tout un peu quand même les Chinois l’ont beaucoup utilisé, les Vietnamiens, les Indiens à Madagascar, en Afrique, toutes ces plantes y a pas que l’artésien il y en a d’autres mais. Faut voir le succès des pays soi-disant sous-développés. Moi j’admire beaucoup les Africains, les Asiatiques, ou qu’on réagit de façon fantastique à la crise. Je parle pas de la Chine qui est un peu à part, parce que la Chine en manipule l’épidémie de COVID pour représenter la population avec le contrôle social chez nous, oui, comme chez nous. On est un peu chinois. Enfin, avec notre cher, notre cher grand mandarin Emmanuel. Mais moi, j’ai cité récemment l’exemple d’exemplaire quoi du Vietnam et de l’Inde. Au Vietnam, j’étais impressionné. Après un an d’épidémie, ils avaient quelques dizaines de morts. Les Vietnamiens sont quand même plusieurs dizaines de millions d’habitants sur le chapeau, ils ont bien géré. Puis effectivement, au Vietnam, on traite. C’est vrai que les Vietnamiens ont gagné la guerre d’Indochine et contre les Américains grâce à la Artemisia Hein, faut s’en souvenir, c’est Mao que veut dire Chimène parce que les troupes mourraient dans la forêt de paludisme, mais c’est l’Arte média qui les a sauvés parce qu’il y avait pas. Les Américains, ou les peut-être les Français avaient la chloroquine chimique, mais les Vietnamiens qui étaient pauvres, ils avaient pas la chloroquine, donc les Vietnamiens ils connaissent leur chemise, ils ont utilisé les Chinois l’avaient déjà publié que ça marchait dans sur le les coronavirus fond, c’était vraiment remarquable, c’était au printemps 2021 Je reçois un message d’un médecin vietnamien qui me dit, je suis très inquiet parce que notre ministre revient du Forum économique mondial. Vous savez, ce fameux cloud femme et tout ça qui veut imposer le vaccination à tous les Vietnamiens et moi j’ai un couple français qui vivait au Vietnam, qui m’envoie des vidéos, on voit l’armée qui commence à rassembler des gens dans les villages pour les vacciner de force. Je voilà. Qu’est-ce qui se passe? C’était juillet 2021 et là, boom un énorme pic d’épidémie au Vietnam, des morts. Et mon copain me dit à ce moment-là, quand ils ont lancé la campagne vaccinale sur Saigon, il y a eu 2 3000 morts à Saigon. Après l’inoculation de ces soi-disant vaccins. Heureusement, les autorités vietnamiennes ont été très intelligentes, ils ont vu qu’ils avaient été manipulés, ils ont arrêté les frais et au Vietnam tout est rentré dans l’ordre. J’ai la même chose en Inde, l’Inde, ça se passait très bien, plus le gouvernement indien donnait aux habitants un peu de hydroxychloroquine. La vitamine D, vitamine C, tout ça se passait très bien un jour parce que l’Inde c’est immense, c’est un c’est un milliard 400000000 d’habitants, il y a y a 3 États dans l’état de bombes qui s’appelle Mumbai maintenant qui sous l’influence des lobbies internationaux, ils ont interdit l’hiver médecine, ils ont dit allez on vacciné tout le monde. C’était la même époque. Juillet 2021 catastrophe dans uniquement dans les 3 États vaccinés, flambée de l’épidémie. Il y a des morts partout. Heureusement, le gouvernement fédéral indien a bien réagi, mais on arrête les frais maintenant. En Inde, un milliard 400000000 d’individus, encore un peu d’épidémie il y a plus de morts et en France, on a notre grand, savait Emmanuel premier. Laquelle, hein? Allez, on vacciné en vacciné on vacciné et on a encore des morts en France. Et dans tous les pays qui vaccinés dans le monde entier, ce sont les pays riches qui veut pas dire qu’ils vaccinent, qui inoculent, qui ont encore des morts, donc à la près, que des gens comme la professeur Dominique Costagliola qui m’a attaqué récemment dans un journal aussi dire que j’ai pas anti scientifique moi je la convoqué pour qu’elle me donne les explications parce qu’y a pas besoin d’une randomiser suffit de comparer les pays. Je pense qu’il faut qu’elle apprenne la santé publique, cette petite dame qui se permet d’attaquer tout le monde au nom de la science parce que franchement. C’est pas correct de faire ça comme dans le monde entier. Il y a quand même des millions de morts en jeu.
– Mais quand même y a une question que les gens certains en tout cas vont, vont se poser. Tu étais jusqu’en 2020 pour aller vite, un homme du système au cœur de la santé publique, qu’est-ce que tu savais? Qu’est-ce que tu as vu? Est-ce que tu as déjà été approché par le lobby pharmaceutique avant COVID lorsque tu étais l’homme du système?
– Alors déjà, on est approché pendant 2 ces pharmaceutiques, on est tout jeune, même vieille assistant, qu’on n’est pas encore professeur, mais tenir par un petit gars, il a l’air brillant, il est bien vu par ses pairs. On commence cette approche, on invite.
– Comment ils font pour les repérer?
– Ben, je pense qu’ils voient un petit peu les publications que ce qu’on fait, que l’image qu’on a dans la société savante. Donc on est invité, puis on est, on est valorisé, on dit tiens, vous voulez pas présider un congrès sur tel sujet? Et on est rémunéré. Moi, j’ai été rémunéré plusieurs fois comme ça, on grincement.
– Où, grincement? Ça pouvait être je sais pas. À l’époque, ça pouvait être 1000€ pour être président d’une réunion, c’était des sommes qui pour vous? Pour moi, qui partais pas assez important pendant ça peut être pas négligeable par rapport à ce qu’on offre à certains probablement mais voilà. Et puis à l’époque, franchement, c’était unanime dans tout le milieu de la discipline, hein? Je parle des maladies infectieuses, c’était pareil. D’ailleurs un médecin, je vais le médecin qui avançait c’était pas invité par l’industrie, c’était un looser, c’était un connard qui était pas reconnu et on admirait ceux qui étaient qui présidaient, toutes les grands symposiums de l’industrie. Parce qu’ils étaient mis en avant, invités dans tous les congrès. Valoriser et c’est vrai qu au début on se fait prendre au piège. Moi j’étais plus un peu là dans ce système. Au début, j’étais content d’être invité comme président d’un d’une réunion scientifique. On est valorisé, tout le monde vous admire au bon et puis finalement, avec le temps, je me suis dit, Bon, c’est un peu bling bling tout ça et puis après surtout bon ça me dérangeait pas de temps en temps de toucher un peu d’argent comme ça avec après quand j’ai eu des responsabilités de santé publique n’est plus possible, surtout que. Vous savez, le CE qui m’a frappé, c’est la première fois. J’étais nommé président du comité technique des vaccinations, donc c’est le Comité officiel qui dépendait à l’époque du Conseil supérieur d’hygiène publique de France, qui faisait des recommandations pour la politique vaccinale. Première réunion, je suis président, on discutait, c’était un peu chaud d’un nouveau vaccin. Bon, on prend une décision que t’es pas forcément très favorable tout de suite à ce nouveau vaccin. Quelle langue le vaccin?
– Pour le pour le si t’es là, je veux pas d’ennui mais bon. Le lendemain je reçois un coup de fil d’un grand dirigeant français, d’une. Une boîte fabricante de vaccin qui me dit, Écoutez, Christian, Comment ça se fait que hier vous avez décidé ça tout ça mais j’ai plutôt mes copains. Il est au courant, lui, il y a une taupe. Effectivement, à l’époque au comité technique des vaccinations, quatre-vingts pour 100, c’étaient des pédiatres qui travaillaient tous les jours avec l’industrie pharmaceutique pour faire les études vaccinales et qui étaient rémunérées grassement pour faire tout ça. Alors là je dis c’est plus possible, je peux pas rester dans un président d’un truc comme ça, donc il heureusement j’avais une médecin de santé publique, l’octane louan, qui est remarquable et quand il est sa carrière dans les institutions publiques que j’admire beaucoup et puis les la direction générale de la santé, des gens m’ont soutenu en disant on va réformer la composition du comité technique des vaccination et c’est à l’époque on avait dit Bon, on va pas mettre que des pédiatres qui travaillent pour l’industrie. Bah on va mettre des généralistes mais il y avait un médecin de la revue prescrire qui était plutôt anti labo. Il y avait on va mettre des sages-femmes à fermières, sociologues, juristes, YAY avait un magistrat très bien indépendant. Bon, j’ai fait exprès de faire une nouvelle composition de gens qui n’étaient pas forcément manipulables directement et j’ai j’avais avec des collègues, écrit une charte sur la gestion des conflits d’intérêts. Je peux vous dire, quand j’étais président aussi bien du Conseil supérieur de jeune public de France, du comité technique des vaccination, du Conseil de la santé publique. À chaque réunion, c’est ça, on peut pas mettre en défaut. Je demandais qui a un conflit d’intérêts avec l’ordre du jour, Jean?
– Répondait de façon.
– Alors la plupart répondent spontanément quelque fois, il y avait des fuites qui cachent leurs conflits d’intérêts. Mais bon, je suis pas con. J’avais mes raisons d’informations. Non, écoute toi c’est pas possible. Et je leur demandais alors, si c’était bon un truc mineur? Il pouvait rester dans la salle, c’était un sujet vraiment très chaud. Ils avaient le droit de s’exprimer, donner leur avis, m’a pris de quitter la salle. Et ne pas participer à la décision finale et au vote. Et c’était écrit dans le compte-rendu. Et c’est pour ça que quand il les avis du haut Conseil de la santé publique sur en 2020 je vais le relire parce que j’ai dit il ne respectent plus rien, y a d’abord dans les avis rendus par le Conseil, la moitié des gens qui rendent la vie sont pas membres du Conseil. Qu’est-ce qu’ils foutent là? Moi aussi j’ai demandé des avis de bon. Bref, extérieur quelque fois sur des sujets pointus. Y a pas toutes les compétences dans le haut Conseil qu’on peut demander à un groupe de travail de nous éclairer, de nous faire un rapport. Ça peut être fort d’urgence. Et puis on vote après, mais les gens qui votent les gens de la Commission c’est pas des gens qui sont extérieurs à la Commission. Alors c’était incroyable parce que la moitié des gens qui y avait même pas eu de voie, pas de vote, la moitié des gens qui décident sont pas membre de la Commission. Le gars qui est qui rend compte pour le Conseil. C’est le président du Conseil de la santé publique, c’est pas légal avant c’est pas au président de Toulon, au Conseil, c’est au président de la Commission de rendre les je le sais, hein, tout ça. Et donc j’ai rien respecté. Il y avait le président de la Commission, la vice-président de plusieurs membres du Conseil qui était bourré de conflits d’intérêts, que les laboratoires que ça signifie qu’il y a eu une accélération ou une industrialisation du lobbying pharmaceutique à l’occasion du COVID,
– Je pense, ça existait déjà avant parce qu’il se trouve que comme je commence à avoir un peu de bouteille alors j’ai pris ma retraite, j’ai formé plein de jeunes, j’avais des jeunes beautés quelquefois pas beaucoup plus jeunes que moi, mais on s’est connu quand ils étaient internes. Qu’on fait une carrière fait une grande dans l’industrie pharmaceutique. Il comprend un international qui se retrouvent dans des postes haut placés aux États-Unis dans les plus grands laboratoires qui quelquefois sont impliqués aujourd’hui. Et déjà, il y a plusieurs années sur le sida, il me disait Ben Tu sais Christian, tes petits copains dans le sida qui font un peu le la pluie, le beau temps. Quand il déclaré. 10000€ 100000€ de conflits d’intérêts tels labo, ça c’est le pourboire parce que nous en fait on leur verse des millions d’euros sur des comptes offshore. Mais même quand c’était ce que ça j’ai du coup parce que évidemment les gens c’est important pour eux. Est ce que tu nous dis qu’il y a des médecins? Probablement des médecins d’influence, des influenceurs qui ont empoché illégalement en évasion fiscale des millions d’euros de soir de la voiture, c’est un secret de polichinelle, mais major, j’étais convoqué, qu’on se départemental de l’ordre des médecins, je leur dit ça, toujours. Vous êtes au courant et le président, oui. On est au courant, mais on a pas de preuve, donc on peut pas agir, mais ils le savent tous, c’est ça et y a pas que la médecine y a y a ça peut être le bâtiment, ça peut être l’armement, ça peut être l’agriculture des pesticides en et puis avec tous les lobbies qui a? À Bruxelles dans ce qu’il y a de l’argent partout, donc faut pas se foutre de notre gueule. On le sait très bien, ils le savent tous et en plus il y a quelques années justement, je me battais pour la reconnaissance de la maladie de Lyme chronique au niveau international avec un groupe d’experts, on était allé à Genève, à l’ONU, à l’O MS il y avait le rapporteur spécial de l’ONU, donc le rapporteur spécial, c’est un poste important à l’ONU. Il nous dit, Vous savez, l’industrie pharmaceutique, on le sait tous, à l’ONU, c’est la première cause de corruption au monde. C’est un mec officiel. L’onu, qui me le dit à Genève dans des locaux officiels de l’ONU, c’est pas moi qui a inventé ça. Donc tout le monde le sait. Et puis après quand je discute avec plein d’autres copains dans l’industrie, m’ont tous confirmé, et il y en a une fois, une femme qui m’avait expliqué sur ce qu’allait une budgétaire, il mettait les gens qui étaient financés pour pas que ça paraisse dans les statistiques fiscales, alors ils ont des combinés, ils ont des financiers professionnels qui font ça très bien, qui noient le poisson pour le fisc, ce que ça n’apparaisse nulle part, mais moi je sais même je citerai pas non mais je connais un collègue dont le fils, travailler aux États-Unis et qui recycle l’argent de papa, m’avait même donné l’adresse. J’avais pas noté à l’époque on m’avait dit Ça, j’ai pas fait gaffe. Les instituts financiers Chicago à New York. Ils recyclent l’argent de tout ce monde là, donc tout ça c’est ça, c’est un monde qui est complètement connu dans des initiés, des initiés, mais on fait semblant de l’ignorer et moi ce qui m’a choqué comme j’ai travaillé comme vice-président pour le groupe de d’experts des vaccins l’o MS pendant plusieurs années. Alors ce qui m’a choqué d’abord, c’est la colonisation de Bill Gates à l’o MS parce que maintenant, c’est le principal bailleur de fonds de l’O MS Donc je disais récemment Ben l’O MS est devenu une succursale de la Fondation Gates. C’est ce qui m’a choqué. Alors moi, dans le groupe remplir, je travaillais, on était plutôt à réunis à Copenhague. Là-dessus, pharmaceutiques ne participe pas du tout à nos débats, mais quand j’étais invité régulièrement au groupe mondial, le groupe qui s’appelait sage, c’était un acronyme, messager sage, qui serait une séance plénière Genève avec la directeur de la directrice de l’O MS Là, il y avait tous les dirigeants de l’industrie pharmaceutique qui étaient là, mais qu’est-ce qu’il foutait là? Et tous les dirigeants des fonds, de la Fondation Getz qui était là, qui est influait et moi, ça m’avait beaucoup fait rire un jour, parce que j’étais à la pause café. C’était au moment de l’affaire Cahuzac. Cahuzac, ce ministre français qui était. Ok je crois qu’il a été il a été condamné, je sais même pas s’il a pas fait de la prison pour son bracelet électronique.
– Pour en tout cas, il a il a été jugé pour, il avait été corrompu pour faire avancer les dossiers des médicaments. Il y avait un gars qui était un des représentants des dirigeants français d’un laboratoire pharmaceutique fabricants de vaccins. Kilos hein, Monsieur Perron? L’affaire Cahuzac, ça va pas du tout là parce que c’est vrai nous coûter cher, mais au moins avec lui, on était sûr que les dossiers avancent rapidement. Il dit ça comme ça à la pause café. Ça, c’est un scandale, comme cette affaire Cahuzac, on peut plus faire notre business tranquille comme avant, et c’est pour ça, vous savez comment je connais tous pour en très intéressant.
– Je pourrais pas tout balancer là parce que sinon après on va me jeter dans la scène discrètement. Disons que suicidaire, faut pas, faut pas m’en raconter. Moi j’ai tout vu dans ce milieu et pour ça que je pense avoir du recul. C’est pour ça que je les emmerde et je suis content de les emmerder. Voilà.
– Christian, tu as quand même vécu. 3 années difficiles 2 ans et demi difficile. Comment tu as fait pour tenir ce lynchage médiatique? Dont tu as été victime, est-ce que ça atteint personnellement? Comment on fait à un moment donné, pour réagir, un ça alors j’étais déjà préparé parce que j’avais eu plusieurs années de combat que la maladie de line chronique au j’en avais pris un peu prendre la gueule de la part des collègues, des autorités, mais moi, c’était moi, méchant, parce que c’était peut-être un enjeu qui était moins important. Mais déjà, je m’étais un petit peu blindé, puis j’avais déjà beaucoup d’expérience des médias parce qu’à l’époque, les médias m’adoraient. J’étais invité partout sur les plateaux de télé. Là, au début de la pandémie, tous les journalistes que je connaissais bien m’invite régulièrement avant qu’ils soient. On leur tire les bretelles, on invite plus le Complotisme Béral donc j’avais déjà une certaine expérience de ça. Je m’étais déjà un petit peu blindée et puis euh. Moi, j’ai toujours beaucoup lu. Bon les philosophes, tout ça. J’ai j’étais imprégné dans j’avais appris, ça m’avait aidé quand j’étais plus jeune, j’étais plus naïf et plus sensible. Quand on vous attaque, si l’attaque est justifiée, si je fais une grosse connerie, que je vais m’en vouloir parce que je vais vraiment fauter, je ça peut toucher parce que c’est vrai que c’est bon. C’est vrai, j’aurais pas dû faire ça. Mais quand on m’attaque ça, aucune. Une justification, ça me Touche pas du tout. Alors c’est vrai que c’est au début, c’est un travail à faire sur soi-même parce que ça fait plusieurs années que j’ai travaillé là-dessus. Mais avant le COVID et maintenant je suis totalement convaincu par ça. Donc s’il y a n’importe quel journaliste où politicien ça, c’est cette nouvelle génération qu’on appelle les fact checkers assez rigolo là qui sont.
– Financièrement, c’était les moins bons journalistes.
– Ils sont pas tous journalistes d’ailleurs, enfin c’est pas d’où ils sortent enfin qui vous attaquent dans perron? C’est un connard. Il est tombé dans le caniveau. Mais j’en ai rien à foutre. J’ai même du la pitié pour eux et qui c’est ces mecs? Ils ont aucune donnée, moi je les attends sur le ring avec des données scientifiques pour venir me contredire. Je les attends quand ils disent Perrot c’est un idiot mais ils ont vu mon CV donc ça ne me touche plus du tout et c’est et c’est vrai que la première fois j’étais convoqué. Le Conseil de l’ordre en juillet 2020 même si c’était une rencontre confraternelle, je me sentais un peu humiliant. Mais qu’est-ce que j’ai fait de mal?
– Parce qu’y a des moments où tu as doute à ce moment-là?
– Ne doutez jamais ce qui était difficile, c’est que mon entourage me familial au début. Vous avez bien qu’est ce qu’il fait et ce qu’il est pas en train de Péter un câble? Il est contre tout le monde et ça c’est difficile et de mon propre service. Quand j’ai vu les médecins qui au début marchent à fond avec moi d’un seul coup parce qu’on leur avait donné des coups de fil, parce que Jérôme Salomon, qui est le directeur général de la santé, c’est le mec qui comptait les morts tous les jours, c’est moi qui l’ai formé, je suis désolé mais il était atteint chez moi assistant. Après les partis plusieurs fois conseillers de Kouchner ou de Marisol Touraine. Bon, moi j’ai j’estimais beaucoup Jérôme Salomon, mais bon, il est-il était nommé directeur général de la santé après j’ai pas compris, t’as appelé après pour te dire Jamais, Christian, tu déconnes.
– Jamais moi je l’ai pas appelé pour lui dire qu’il déconnait parce que je franchement, j’ai de la peine pour lui, pour voir tout ce qui a été fait. Bon ça me touche parce que je dis bon à un gars comme ça pour qui j’ai beaucoup d’estime. Bon c’est triste de voir comment tout ça tourne bon c’est comme ça, c’est plus de quoi discuter.
– Tu n’as pas eu de doute, mais quand même, tu as un moment donné le sentiment qu’il y a un impact sur ta vie personnelle.
– Mais c’est vrai que c’est ça a été difficile, surtout quand les alors autant les gardiens de sécurité à l’entrée de l’hôpital me saluait, Bonjour, professeur des les petits gars des services techniques sur leur fenwick qu’ils aiment, bravo les aides soignants, les électriciens de l’hôpital, tout le monde était à fond pour moi, les infirmiers. Puis après, quand on arrivait au niveau, car alors, au début de la crise était à fond pour moi, puis après comme ils ont été un peu manipulés, bon, ils commençaient à prendre du recul et les médecins, tous les médecins de l’hôpital contre moi. Bon, il le disait pas, mais je voyais bien. Il m’éviter, il me regardait plus me parler plus alors.
– Comment on le vit ça eh Ben ça va, ça m’a vexé. Et puis après je dis Bon Ben c’est des cons quoi. C’est franchement que ce soit les plus éduqués dans un hôpital qui voient pas leurs que le les tout le service de base de l’hôpital a compris depuis longtemps qu’on nous manipule, alors y en a peut être certains qui sont sous influence de l’industrie. C’est possible, mais je j’en ai aucune preuve et je peux pas dire combien mais je pense qu’il y en a quelques-uns et surtout les autres. Ils suivent le mouvement qu’ils ont été comme ça, éduqués, on suit les sociétés savantes, on suit ce que dit le ministère, ensuite tout ça et il y en a pas un qui a un esprit critique. Moi je suis très inquiet pour eux parce que je dis. Toute façon la médecine était très malade aujourd’hui.
– Quel conseil tu donnes pour conclure cette longue?
– Intercostale que je donne, c’est de garder l’optimisme parce que tout est en train de se casser la gueule. Il y a des scandales qui éclatent tous les jours, des scandales médicaux, des scandales financiers. Donc on voit que tout ce sur quoi c’était construit en train de se casser la figure donc franchement, en ce moment, je suis très content parce que je pense que ça va pas durer très longtemps. Que petit Manu premier, il va quand même devoir. Revoir peut-être un peu sa copie et que tous ces et je dis aussi à tous les députés, les sénateurs qui ont voté des lois totalement illégales et qui continuent les voter, faites attention à vous parce que vous serez un jour convoqué à titre personnel devant les tribunaux pénaux parce que je rappelle qu’on n’a pas le droit d’imposer un produit expérimental. C’est contraire à toutes les toutes les lois nationales, tous les traités internationaux contraires au code de Nuremberg qui fassent très attention. C’est mon message, donc ouvrez les yeux et refuser de continuer dans la collaboration. Vous avez le devoir de dire non. Il faut se souvenir de l’histoire de l’occupation allemande, Hein. Tout le monde s’est couché et puis après ils étaient tous résistants d’un seul coup. Bon, j’espère qu’il y aura de plus en plus de résistants. Moi je me sens pas résistant, je me sens simplement éveillé. Je pense qu’il faut être du côté de la lumière et la lumière, elle est en train d’arriver partout, on au niveau mondial, on voit, ça bouge partout. Donc moi je suis très heureux et je pense qu’on on a vécu une période terrible, il fallait peut-être vivre cette période terrible pour un renouveau. Mais moi je suis très optimiste. Je suis persuadé que vers un renouveau dans la médecine, dans la recherche, dans tout ça et voilà donc c’est un message d’espoir et je souhaite une merveilleuse année parce que c’est la c’est la nouvelle année à tous vos auditeurs.