Les « cancers turbo » causés par l’ARNm sont sur le point de tuer des milliards.
Un des épidémiologistes les plus réputés au monde a mis en garde contre la montée des “cancers turbo” causés par des produits chimiques d’ARN messager, ce qui entraînera bientôt la mort de milliards de personnes.
Le Dr Harvey Risch est professeur émérite d’épidémiologie à l’Université de Yale. Il se spécialise dans les domaines de l’étiologie du cancer, de la prévention et du diagnostic précoce, ainsi que dans les méthodes épidémiologiques. Après avoir découvert une augmentation alarmante des “cancers turbo”, Risch prend maintenant la parole pour avertir le public de l’agenda de dépopulation qui se déroule sous nos yeux.
Selon Risch et d’autres spécialistes renommés du cancer, les cas de ce nouveau phénomène ont augmenté rapidement au cours des deux dernières années.
“Ces cancers qui seraient normalement contrôlés par le corps se développent très rapidement de manière inattendue”, explique Risch lors d’une récente interview avec The Epoch Times.
“Nous savons que les vaccins contre la Covid ont causé divers degrés de dommages au immaire chez une fraction des personnes qui les ont pris. “Et ces dommages peuvent aller de la contraction plus fréquente de la Covid, à l’apparition d’autres maladies infectieuses, et peut-être même au cancer à long terme”, met-il en garde.
Risch n’est pas le seul à exprimer ses inquiétudes. De nombreux médecins de premier plan, dont le pathologiste renommé Ryan Cole, ont également tiré la sonnette d’alarme à propos des “cancers turbo”.
“En raison de la dysrégulation des réponses immunitaires et de la suppression du système immunitaire par ces injections génétiques… ces cancers qui seraient normalement contrôlés par le corps se développent très rapidement de manière inattendue”, a précédemment averti le Dr Cole lors d’une interview avec Children’s Health Defense. Mais le pire est peut-être encore à venir, prévient Risch.
“L’idée qu’un nouveau produit comme les vaccins [contre la Covid] puisse causer le cancer n’est pas quelque chose qui sera observable du jour au lendemain”, explique-t-il.
“Le cancer en tant que maladie met beaucoup de temps à se manifester, depuis les premières cellules défectueuses jusqu’à leur croissance suffisante pour être diagnostiquées ou symptomatiques. Cela peut prendre deux ou trois ans pour les cancers du sang, comme les leucémies et les lymphomes, cinq ans pour le cancer du poumon, vingt ans pour le cancer de la vessie, ou trente-cinq ans pour le cancer du côlon, et ainsi de suite.”
“Il s’agit donc d’événements à long terme, et si vous introduisez soudainement un nouveau produit comme les vaccins, la première chose que vous pourriez vous attendre à voir serait les cancers du sang dont j’ai parlé, mais pas les autres types de cancers.”
Cependant, des augmentations des troubles liés au sang apparaissent déjà dans les données gouvernementales officielles. L’analyste de données Edward Dowd a mis en lumière les décomptes annuels des demandes d’indemnisation PIP (paiements) au Royaume-Uni par système corporel plus tôt cette année. L’analyse de Dowd examine différentes mesures pour 2020, 2021 et 2022.
L’expert en données hautement respecté a constaté que les demandes liées à des problèmes hématologiques (liés au sang) étaient en hausse de manière impressionnante, soit 522 au-dessus de la tendance en 2022. Cependant, ce ne sont pas seulement les troubles liés sang qui augmentent.
Les cancers qui prennent normalement dix, vingt ou trente ans pour se développer émergent rapidement chez les patients.
Risch affirme que les injections d’ARNm suppriment le système immunitaire du corps. Il dit que les cancers sont théoriquement accélérés par ces injections d’ARNm qui suppriment le système immunitaire. Les cancers qui prenaient auparavant des années à se développer pourraient maintenant apparaître à des taux accrus à long terme, indique Risch. Mais nous constatons déjà des signes de cela chez les jeunes.
Il y a de plus en plus de signalements de personnes en pleine force de l’âge souffrant soudainement de cancers à des taux sans précédent. Le YouTuber Colby Brock, âgé de 26 ans, a partagé son diagnostic de cancer des testicules avec ses abonnés le 9 juillet 2023. Le Dr William Makis a fait une étude approfondie sur les jeunes influenceurs des médias sociaux développant un cancer sur sa page Substack.
Selon le Dr Risch, si un de 25 ans développe un du côlon sans antécents familiaux de la maladie, alors autre chose doit être en jeu. est pratiquement impossible selon le paradigme du fonctionnement du cancer du côlon”, note-t-il.
Il ajoute que d’autres cancers à longue latence apparaissent chez des personnes très jeunes. “Cela ne correspond tout simplement pas à l’occurrence normale du cancer”, affirme le professeur.
“Parce que ces cancers surviennent chez des personnes trop jeunes pour les développer normalement, ils ont été désignés comme des cancers turbo”, ajoute Risch.
“Certains de ces cancers sont si agressifs qu’entre le moment où ils sont détectés pour la première fois et leur retour pour un traitement après quelques semaines, ils ont considérablement augmenté par rapport à ce à quoi s’attendraient les oncologues.”
Alors que les questions se multiplient sur ce qui cause l’augmentation vertigineuse du nombre de patients atteints de cancers turbo, Risch offre une explication.
“Il doit y avoir un stimulus initial”, dit-il. Comme Risch l’a déjà déclaré, “Les vaccins contre la Covid ont causé divers degrés de dommages au système immunitaire chez une fraction des personnes qui les ont pris”. “À mon avis, le cancer est quelque chose que le corps combat normalement parce que les cellules défectueuses qu’il crée – le système immunitaire les reconnaît généralement et parvient à les éliminer ou à les désactiver pour qu’elles ne progressent pas.
“Mais si vous endommagez le système immunitaire d’une manière qui limite sa capacité à reconnaître ou à désactiver les cellules cancéreuses nouvellement défectueuses en pleine croissance, alors cela ouvre la porte à leur multiplication au point où le système immunitaire ne peut plus faire face.
“Et c’est le mécanisme qui est le plus probable ici.”
